Une réalité scientifique incontestable…
Le réchauffement climatique est le phénomène de transformation du climat caractérisé par une augmentation générale des températures moyennes (particulièrement liée aux activités humaines d’après certains) et qui modifie durablement les équilibres météorologiques et les écosystèmes.
Selon le rapport du GIEC de 2021, des changements profonds et à long terme tel que la fonte des calottes glaciaires et la hausse des températures et du niveau de la mer, ou bien l’acidification des océans sont déjà en cours de manière irréversible.
… dont l’évolution reste difficile à prévoir…
Il y a cependant différentes thèses qui soulignent quelques incohérences.
Par exemple, si on reprend les données connues du passé, on est actuellement incapable de les « rétro-prédire » à partir des modèles qui nous prédisent un avenir sombre. De plus, on ne connaît pas l’horizon de fiabilité des modèles, comment pourrait-on être sûr de ce qu’il adviendra à 5 ans ? 10 ans ? Sans parler des évènements imprévisibles, mais pas forcément rares pour autant. Deux exemples concrets : les archéologues pensent que l’effondrement de l’empire romain serait dû à un refroidissement majeur du climat autour du bassin méditerranéen, généré lui-même par des éruptions volcaniques très violentes en Islande. Nous étudions la sismologie et l’activité volcanique, cependant aucun vulcanologue n’est capable de prédire avec précision la date de futures éruptions de même nature à l’avenir. Tout au plus ils affirment qu’il va y avoir un évènement dans les semaines ou mois à venir, mais au-delà, ils ne savent pas. De même, le monde a été surpris par le tsunami de 2004 ; bien qu’on sache que le Pacifique comportait de grandes failles sismiques, les scientifiques n’ont pas pu anticiper la catastrophe.
… et les causes non démontrées.
Il est légitime de réfléchir à ces questions parce que les conséquences de la validation des thèses du GIEC ont un impact très important sur nos vies, modes de transport, activités économiques…etc… Loin de nous l’idée de nier qu’il est absurde de faire des milliers de kilomètres pour produire un simple yaourt à la fraise, mais avant de dépenser des milliards pour nous suréquiper en éoliennes ou de crouler sous des cimetières de voitures électriques, il peut être intéressant de chercher un peu ce qu’il en est vraiment.
Qui finance le GIEC ? Comment sont nommés ses experts ? Quels sont les enjeux politiques, économiques et financiers de la « lutte contre le réchauffement climatique » qui nous est présenté comme une cause incontestable et inattaquable ? Cela peut être intéressant de chercher de ce côté-là.
S.G.